Vous m'avez notifié par courrier du 4 août mon licenciement pour faute grave.
Or, il me semble que le fait d'acquérir des actions d'une société concurrente ne constitue en aucun cas une faute grave selon la jurisprudence.
J'estime, dans ces conditions, être en droit de bénéficier des mesures prévues par l'article L. 122-6 du Code du Travail, c'est-à-dire les indemnités de préavis et de licenciement.
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